L’OL recevra mardi soir (21h00) le Shakhtar Donetsk dans un stade quasi vide puisque sanctionné d’un huis clos. En plus de ce contexte particulier, Bruno Genesio et ses hommes devront gérer l’après-Manchester City. Un exploit qui rend presque obligatoire une qualification pour les 8emes de finale de la Ligue des Champions.

Mardi soir, le Groupama Stadium sonnera creux. Loin, très loin de la chaude ambiance qui régnait dans ce Parc OL lors de l’Olympico remporté par les Rhodaniens contre l’OM il y a plus d’une semaine (4-2), ou encore lors de nombreuses soirées européennes. Sanctionnée d’un match ferme à huis clos contre le Shakhtar Donetsk, pour cette deuxième rencontre de la phase de poules de Ligue des Champions (21h00), l’écurie lyonnaise n’aura comme fond sonore que les consignes données par Bruno Genesio et le banc adverse. Et, peut-être, le bavardage du millier d’invités, de personnels de sécurité ou encore de journalistes présents. Le résultat des débordements observés lors de la rencontre de Ligue Europa contre le CSKA Moscou la saison dernière (1-3). « Ce qui est surprenant, avec cette ambiance, c’est qu’on se croirait à l’entraînement. Mais c’est la compétition qui prime, il faut passer outre à tout ça, a déclaré le coach des Gones devant la presse lundi. On sait que le public est très important dans ce genre de match. On a eu des ambiances européennes assez extraordinaires qui ont parfois décuplé nos forces. C’est regrettable pour tout le monde, mais il faut aussi accepter la sanction et trouver la motivation ».

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