Paul Put a été radié ce vendredi de toute activité liée au football en guinée et écope d’une amende de 100 000 euros suite à une affaire de racket sur les primes et salaires.
En effet, la Féguifoot reproche au technicien belge d’avoir enfreint le code d’éthique et le code de discipline de l’instance dirigeante du football guinéen. La sanction : une suspension à vie de toutes activités footballistiques en Guinée et une amende de 100 000 euros.
Face à cette situation, Paul Put n’est pas resté les bras croisés. Après avoir confié la charge à son avocat d’engager une procédure devant le Tribunal Arbitral du Sport (TAS), Paul Put sort de son silence et se défend lui-même.
Au travers d’un communiqué rendu officiel, Paul Put se défend, s’explique et donne sa version des faits.
« Je n’ai jamais corrompu et personne ne m’a jamais corrompu. J’ai juste été victime de racket sur mon salaire, d’extorsion d’argent sous pression et c’est différent de la corruption » à expliquer le technicien belge.
« J’ai subi des pressions d’une seule et même personne, j’ai été racketté par le premier vice-président en me faisant croire que c’était avec la bénédiction et l’accord de la Fédération et j’ai cédé. Je n’ai jamais corrompu qui que ce soit, c’est faux et archi-faux. Personne n’a la moindre preuve de ce mensonge outrancier et de cette diffamation odieuse pour mon honneur. » s’est défendu Paul Put.
Diffamation odieuse pour son honneur, Paul Put tient à rétablir son image et son honneur en exigeant des excuses publiques afin de laver cet affront. « J’exige des excuses publiques de ceux qui ont porté atteinte à mon honneur. Ces mensonges ont terni mon image et je ne resterai pas les bras croisés »
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